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samedi 22 août 2015

Trois coups de gueule cinématographiques

Les ados décérébrés critiques de cinéma

Habituellement on voyait sur les affiches de courtes citations extraites de magazines comme Mad Movies, Première, Télérama,... Ils n'apportent pas grand chose mais ont au moins le mérite d'émaner de gens du métier. J'ai vu sur l'affiche de "La face cachée de Margo" quelque chose qui existe peut-être depuis quelques temps mais que je constatais pour la première fois : l'extrait des critiques de cinéma a fait place à.... deux tweets (élogieux bien sûr) de parfaits anonymes... et attention, il faut voir le niveau ASV-kikoo-lol d'ados décérébrés facebookien... Au delà du fait que Tweeter est une daube GAFAienne, on voit que les distributeurs continuent à s'enfoncer dans la médiocrité.

Qui sont les cons qui traduisent les titres de films étrangers ?

Dans la catégorie "Je chie sur l'intégrité des oeuvres" je place en nominé les abrutis qui traduisent les titres de films étrangers. Déjà que les films doublés le sont très mal et que seule la VO permet de respecter un tant soit peu l'intégrité d'un film étranger, ces gens là ne peuvent s'empêcher d'agraver la chose en pondant des traductions qui (quand elles en ont un), n'ont la plupart du temps qu'un vague rapport avec le titre original. Deux exemples qui me marquent : "Fear and Loathing in Las Vegas" qui devient "Las Vegas Parano" ou, dans le domaine des films d'animation pour enfants "Over the hedge" qui devient "Nos voisins les hommes"... Il serait de bon ton que les traducteurs se contentent de traduire ou, mieux, qu'on ne traduise pas les titres de films étrangers. Si quelqu'un peut me dire en commentaire qui sont les responsables du massacre, je suis preneur.

Salles de cinéma : elle est où la VO ?

Quelle frustration quand on veut aller voir un film étranger e qu'on constate que les rares projections en VO sont à des heures totalement improbables (très tard ou pendant les heures de bureau). Là encore, on voit qu'on veut surtout nous faire avaler du cinéma dégradé, formaté, consommable. Là encore, on chie sur l'intégrité des oeuvres. Patrons de cinéma, sortez-vous donc les doigts du cul une fois dans votre vie et tâchez de donner le goût des vraies choses à vos "clients" en essayant de les considérer comme autre chose que des cartes bancaires sur pattes...

dimanche 5 octobre 2014

Non... tous les lecteurs ne se valent pas... Jetez le FreePlayer

On lit souvent que tout les lecteurs multimédia de salon se valent en termes de qualité de rendu et qu'ils ne se différencient que par leur ergonomie ou en cas d'upscaling. L'argument avancé est qu'ils feraient une bête restitution de la source vers la sortie HDMI.

Profitant de mon changement de FAI, je rends le vil Freeplayer (dont l'ergonomie est lamentable) pour passer chez OVH et choisi de prendre une platine haut de gamme (le Samsung BD-F7500) dont j'avais lu les louanges. Ce lecteur dual-core m'a apporté un gros gain par rapport au Freeplayer en termes d'ergonomie et d'indépendance (notamment par rapport à la connexion Internet) mais surtout une qualité d'image bien supérieure. Sur mon plasma de 50 pouces (maintenant j'ai un projo), j'ai pu observer notamment que le rendu des BRD (BluRay Disc) était largement meilleur avec un tel lecteur que ce soit au niveau de la finesse, de la fluidité ou de la colorimétrie de l'image.

Côté ergonomie, c'est le confort total, on peut notamment se balader comme on veut dans les vidéos par glissement ou saisie de temps (alors que le Freeplayer plante souvent lorsqu'on essaie de naviguer dans une vidéo).

Le budget n'est pas forcément énorme. Cette platine se vend 200€ en boutique mais je l'ai eue neuve à 131€ port inclus sur ebay.

dimanche 14 septembre 2014

Enfants et technologies : il faut serrer la vis plus fort

Moi qui pensait assez bien limiter les temps d'écran pour mon fils...  il va falloir checker tout ça :)

Et, globalement, les parents geeks de la Silicon Valley tiennent leurs enfants à l'écart de la technologie.

jeudi 22 mai 2014

Les chefs de produit nous prennent vraiment pour des buses

Quand on regarde de près les emballages des produits de consommation courante, on peut observer avec sourire (ou pas) qu'on nous prend vraiment pour des guignols.

Dans le monde alimentaire, de nombreuses mentions ayant pour objet la valorisation du produit comme "sans ceci" ou "avec cela" sont accompagnées d'un astérisque qui nous renvoie à "conformément à la législation en vigueur". C'est donc aussi riche en terme de renseignement sur le produit que s'il était indiqué dessus "comestible". De même, dans les cosmétiques, on nous vante "testé cliniquement" alors que les tests cliniques sont de toute façon obligatoires et que, de plus, cette mention est totalement conne dans la mesure où elle ne dit rien sur les résultats des tests en question. Le produit a été testé, mais il n'est pas précisé si c'est avec succès...

Pour bien illustrer le phénomène, on voit ici que les peigne-culs du marketing de Neutrogena semblent croire que leurs clients seraient assez cons pour croire que leurs produits sont conçus par des bouchers ou des menuisiers ou que sais-je :

Développé avec nos dermatologues