L'UMP poursuit sa démarche de cléricalisation de l'éducation nationale. Dernier cadeau en date : Malgré un taux d'élèves inscrits dans l'enseignement confessionnel d'environ 20%, sur les 16 000 postes d'enseignants qui seront supprimés en 2012 par Luc Chatel, seuls 1 350 concernent l'enseignement confessionnel (soit environ 8%). Déjà, durant les dernières années sur les 66 000 emplois supprimés, 4 600 seulement ont impacté l'enseignement confessionnel.
On retrouve ici une manifestation de la volonté gouvernementale d'une part de préparer une éducation à deux vitesses en privilégiant l'enseignement privé et d'autre part de favoriser la cléricalisation du pays.